Livre suggéré : Guide du citoyen, droit québécois de l’environnement
Avec les changements climatiques et les catastrophes qui se multiplient, nous nous sentons parfois impuissants à y faire quoi que ce soit. Dans notre vie de tous les jours, nous subissons la spéculation des marchés, les décisions géopolitiques, sans nous en rendre compte. Notre qualité de vie dépend de l’environnement extérieur.
C’est possible de changer « notre » monde, mais bien sûr, cela exige un certain effort. Le premier étant de se demander ce qu’on aimerait changer. La difficulté dans cette question réside dans les limites de notre imagination. La majorité d’entre nous sommes conditionnés par l’idée d’être dirigé par les autres et ne pouvons même pas imaginer comment vivre autrement.
Voir grand
Imaginer d’abord notre monde sans argent donne plus de permission de le voir dans sa pleine grandeur. Pourquoi voir grand ? Pour éveiller l’aspect lumineux notre être. Cette part d’esprit en nous n’est pas limitée. Construire à partir de notre esprit nous amène vers les zones créatives de notre potentiel. Lorsque nous allons dans ces paramètres internes, il y a plus d’oxygène à l’intérieur de nous. Alors un sentiment de bien-être et de liberté nous habite.
Sur cette base, nous pouvons explorer la notion du pouvoir. Lorsque nous restons petit, lorsque nous réduisons notre environnement extérieur à des enjeux matériels, le pouvoir devient toxique. Se laisser enfermer dans des conditions matérielles exprime le fait d’une insécurité, de la peur de manquer de quelque chose, de ne pas être rétribué correctement. Avant d’accuser les autres, nous devons faire l’exercice d’étudier ce qui nous insécurise et, de ce fait, nous rend petit.
Être grand est souvent perçu comme de l’arrogance et de l’orgueil. Rien n’est plus faux. Il faut beaucoup plus d’humilité pour grandir alors que se croire modeste relève souvent de la peur d’assumer sa pleine mesure, par paresse, par manque de détermination, par démission…
L’importance du rayonnement
Oui, nous pouvons créer un environnement qui nous plait lorsque nous prenons le risque d’accroitre notre rayonnement. Rayonner n’est pas banal, ça n’a rien à voir avec l’idée de vouloir être remarqué ou « être show off ». Rayonner élève les fréquences notre vibration dans notre monde matériel. C’est cette aura qui change le monde et non pas la fausse modestie, qui nous garde trop petit pour agir sur quoique ce soit. Influencer est une grande responsabilité que l’être modeste refuse de prendre par crainte de se tromper, de ne pas être à la hauteur, qu’on lui reproche de vouloir briller, etc.
La lumière de notre être prend son expansion lorsque nous libérons notre moi de ces peurs et de ses doutes, mais aussi du sentiment d’appartenir à un groupe, de la croyance que tout est déjà établi. Généralement les gens accordent bien peu de pouvoir à leur fibre de Créateur.
Dénigrer que nous sommes tous des Créateurs, c’est ne pas comprendre qui nous sommes, c’est chercher des raccourcis pour atteindre une certaine stérilité.
Nous sommes grands. Nous avons du pouvoir sur nous-mêmes et en rien sur les autres. Nous avons du pouvoir sur notre environnement lorsque notre vision est claire et que nos actions sont justes. Il faut beaucoup d’humilité pour assumer sa vision prépersonnelle et la mettre en action. Elle oppose le plus souvent ce que nous aimerions être par rapport à qui nous sommes réellement. Être soi, c’est parfois confrontant, mais toujours satisfaisant. C’est en se rapprochant de soi que l’on trouve le bien-être; de là, la possibilité de développer l’environnement qui nous plait.
Le pouvoir cosmopolitique
Cette prise en charge face à notre environnement social, planétaire, professionnel est un acte politique lié à un pouvoir interne souvent inactif. La volonté politique dans une conscience universelle ne repose pas sur l’argent ni sur la manipulation de masse. Le pouvoir politique réel relève de la manipulation des fréquences d’énergies. C’est sur ce plan que la lutte politique se joue réellement.
Mal négocier avec les pouvoirs politiques en place signifie ne pas comprendre l’importance de participer au pouvoir pour en changer la vibration. L’anti-pouvoir est contreproductif et isole les êtres en factions, sans pouvoir sur leur environnement.
Intégrer son pouvoir d’action est indispensable pour créer un environnement à sa mesure. Les premières générations de supramentaux ont étudié leur savoir et non leur pouvoir. À l’instar des intellectuels des universités, ils n’ont pas mis en action leur intelligence. C’est pourquoi ils ont souvent stagné et aussi souffert.
Clé d’exploration du pouvoir
La clé du pouvoir repose sur la différence entre contester et tester. Contester est arrogant et fait le jeu du miroir si cette action n’aboutit pas dans une forme à « tester ». Les gens idéalisent le supramental comme s’il fallait être parfait dans la forme pour confirmer son statut. Pure illusion qui garde les gens dans l’orgueil spirituel. Prendre les autres en défauts au lieu de simplement agir en fonction de ce que notre moi a réellement à offrir est une mauvaise manière de se donner du pouvoir sur son environnement.
(Se) Tester développe et définit la force d’individualité réelle. Il faut beaucoup d’humilité pour pratiquer son pouvoir individué car, personne ne peut valider nos actions, sauf les événements. Ça donner l’impression de solitude. Et ne pas chercher à éviter cette sensation est aussi une clé pour récupérer son pouvoir sur son rayonnement.
On peut dire que l’orgueil (spirituel) en a enfermé plus d’un dans un isolement stérile, par ignorance des mécanismes de la descente (voir www.formationlecreateur.com niveau 1). À l’aube de notre nouvelle civilisation, nous pouvons passer par les pouvoirs établis à travers les enjeux politiques afin de les élever à une autre fréquence.
Explorer l’influence de son propre rayonnement dans toutes les sphères de notre vie est fondamental à l’intégration de notre supraconscience. C’est à partir de ces actions subtiles que nous pourrons créer des paradigmes cosmopolitiques et établir sur le globe une relation saine entre l’environnement extérieur et intérieur.
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