L’égrégore créant une pression sur le groupe est abordée également dans la première partie.
En temps de pandémie, notre instinct grégaire nous pousse aisément à l’asservissement. Que l’on soit croyant ou athée, le mécanisme inconscient profond de l’instinct grégaire demeure tant que la personne n’individualise pas sa conscience.
Voici pourquoi et comment en sortir.
L’esprit de groupe, comment ça fonctionne ?
Vous aurez compris que le mécanisme de l’égrégore créant une pression sur le groupe reste le même dans tous les secteurs. Quiconque n’a pas individualisé sa conscience profonde est aisément soumis à l’égrégore collectif, par pur réflexe de survie. C’est l’instinct grégaire.
C’est grâce à des rituels, la prière répétée, le mantra que l’énergie psychique et mentale de dizaine, centaines, milliers ou millions d’individus différents s’accumule pour constituer une masse psychique collective.
La pression du groupe Covid-19
Donc l’égrégore collectif de Covid-19 a été créé et entretenu par les prières et mantras quotidiens dans les grands médias.
De cette accumulation émotionnelle se constitue un nouveau « Groupe d’appartenance ». Ici, dans la confusion, le message final est : « Ne soignons pas les malades, vaccinons tout le monde car notre système immunitaire ne vaut rien ».
Les gens en viennent à craindre leur propre corps. Ils font plus confiance à un vaccin qu’à leur métabolisme, à des entreprises prisonnières de la concurrence du marché… en tant que sentiment d’appartenance au groupe «Les bons», les autres sont dans le camp des «mauvais».
L’égrégore collectif comme sentiment de réconfort
Par définition, un égrégore s’oppose à la liberté individuelle, donc à la libre pensée. La nature et les animaux fonctionnent avec cette même mécanique : point d’individu, mais un esprit de groupe afin que tout le monde se comporte de la même manière.
Un poisson ne peut devenir ami avec un ours, sauf dans les contes de Disney L’ordre est ainsi crée par les codes naturels. Mais l’Homme qui pense… peut faire à sa convenance et même aller à contresens de l’ordre.
Prenons par exemple, le deva ou esprit des abeilles. Elles fonctionnent en groupe. Ce qui signifie qu’elles ont la même structure de comportement. Elles vont butiner dans des pollens et toutes les abeilles font exactement la même chose, à part la Reine.
Les abeilles ne se prendront pas pour des poissons, ce que nous, humains, tentons de faire parfois, par excès de confiance en soi, lorsqu’il nous arrive de chercher à croire à tort que nous sommes individualisé.
L’humain, toujours un animal
En effet, ce qui distingue les êtres humains des animaux, c’est leur capacité de s’individualiser, par un processus de mise en lumière de l’inconscient. Lorsqu’on tente cet exercice dans l’opacité, on se prend pour un autre ! Parfois pour une grenouille, parfois pour le pape. Nous sommes loin d’individualiser notre être !
Dans cette même dynamique de groupe, nous apprenons à construire une entreprise, un parti politique. Toute forme corporative ou collective possède un égrégore créant une pression sur le groupe
Un égrégore est engendré comme support de pensée pour le groupe grâce au sentiment d’appartenance. Pour stimuler ce dernier, nous allons devoir créer des rituels. Ainsi on s’assure que l’égrégore continue d’être alimenté par les membres du groupe.
Comment alimente-t-on un égrégore ?
Par des incantations qui stimulent le système émotif. Tel que mentionné plus tôt, ces incantations peuvent être des prières répétées (ce qui inclut le chant patriotique, le cri de ralliement corporatif ou autre, etc), des mantras médiatiques.
Généralement les incantations attirent des énergies dont on ne soupçonne absolument pas l’impact sur notre personne, sauf si on devient conscient de nos dimensions (psychique et mentale), ce qui n’est pas le cas de la majorité.
Si on ne se connait pas de l’intérieur, l’égrégore, foisonnant d’entités de toutes sortes (prenez-le comme vous voulez), crée une pression sur votre psyché. Cette pression invisible est ressentie par beaucoup de gens qui n’ont pas la curiosité de la questionner, et acceptent alors de s’y soumettre. De là, la glande pinéale est englobée et sa fréquence d’oscillation électrique diminue. C’est ce qu’on appelle l’état d’hypnose.
Les limites de l’égrégore
À un moment donné ou à un autre, tout égrégore devient contre-productif. Il y a tellement de gens qui invoquent, qu’une interférence magnétique se produit avec l’intention d’origine et une confusion s’empare des esprits en dissociant l’individu de lui-même.
Cette dissociation génère une panique généralisée, qui teintera d’autant l’égrégore. Ainsi un égrégore devient une pollution psychique qui intoxique les gens qui se font soutenir par lui. C’est l’univers précaire de la forme. Un individu affranchit en souffre énormément et doit s’en dissocier car, il refusera de se dissocier de lui-même, de sa source de lumière.
Toujours lorsqu’il s’agit d’un collectif, l’égrégore alimenté par les émotions se dégrade avec le temps. Non seulement en raison des nombreuses interférences mais parce que les gens cherchent à se nourrir de lui et en diluent la puissance. C’est ce qu’on appelle des courants de pensée. Ils font leur temps.
Comment sortir de l’égrégore ?
Pour se dissocier d’un égrégore, il faut individualiser sa conscience sur le plan psychique et mental en renversant le regard que nous portons sur notre monde.
Nous sommes attachés à des formes (maison, voiture) et des représentations (classe sociale, morale, croyances) qui constituent notre sentiment d’appartenance à un groupe (pression sociale collective, survie). Ce groupe est un égrégore (masse psychique).
Il faut beaucoup d’énergie, de courage et de détermination pour en sortir. C’est pourquoi la majorité des gens préfèrent continuer d’être portés par leur sentiment d’appartenance, quel qu’en soit le prix à payer.
Il y a un prix à payer pour rester soumis. Il y a un prix à payer pour devenir libre.
Se libérer exige de renverser sa conscience. Ça commence par la libération du sentiment d’appartenance au groupe, puis à la dépendance à l’égrégore lui-même. Il s’agit ni plus ni moins de détruire sa propre conscience « animale », son propre instinct grégaire, pour le remplacer par une conscience vibratoire de soi.
Dominer l’animal pour ouvrir sa conscience individuelle
Un individu réel ne se voit pas comme un animal pensant, mais comme un esprit dans un corps. C’est la résultante du renversement de vision dans la conscience : il voit le monde à partir de sa radiance et non à partir des sens qui lui font voir la matière.
Vivre d’après ce qu’on voit et ressent génère une angoisse causée par le fait de ne jamais pouvoir accéder à la source réelle de soi ou de l’information.
L’égrégore sert bien de source temporaire et partielle d’information. Elle calme donc temporairement et partiellement l’âme en manque d’identité. L’étroite conscience humaine nous fait alors rechercher des privilèges à travers une identité collective, un sentiment d’appartenance. Et si on accède aux privilèges, on se croit touché par la grâce de cette identité… partielle et temporaire.
Quand on se connaît de l’intérieur, on n’embarque pas dans un égrégore. Nous pouvons alors accéder à ce qu’on appelle notre identité vibratoire. Elle est la source de notre être.
Les vagues de conscience collective
Par exemple, si on décide de participer à une manifestation mondiale sur l’environnement ou sur le choix vaccinal, nous tendons à nous laisser porter par la vague. Notre émotif est acheminé dans l’égrégore collectif.
Il a besoin de beaucoup de monde pour être nourri et pour grossir. Il en va de même pour l’égrégore de la peur du Covid et de l’imposition du vaccin.
Avec Covid, le monde entier se trouve à devoir nourrir deux égrégores : un gigantesque, soutenu par les gouvernements, et l’autre plus petit soutenu par des médecins, chercheurs indépendants et citoyens.
La peur est stimulée par le premier groupe et la colère par le second. L’émotif est le sang de l’égrégore.
Donc les gens qui sont dans la manifestation en train de marcher avec des émotions, qu’elle soient bonnes, paniquantes, elles nourrissent l’égrégore.
À quoi nous attache une vague ?
Un magnétisme se dégage et donne une impression de solidarité. On se conforme alors à l’identité collective véhiculée par l’égrégore. Il s’agit d’une bulle ou d’un buzz. Rien de réel.
Éventuellement cet égrégore, quel qu’il soit, devient un ramassis de toutes sortes d’émotions. Si vous vous laissez porter par ce Groupe d’appartenance, vous êtes en train de dire « Je débarque de mon identité radiante, de mon individualité, pour donner ma vie (radiante) à une grosse masse collective, une énorme entité, qui n’est pas moi, pour qui je conforme mon destin pour des raisons nébuleuses. »
Lorsque nous sortons ainsi de nos pompes, lorsque nous dévions de notre identité intérieure pour nous associer à une identité collective, son magnétisme induit des tensions sur notre psyché.
Elles varient selon le niveau d’intensité de votre investissement au groupe. Que vous soyez dans l’euphorie, le jugement moral, la peur, rien de ce que vous vivez n’est réel.
C’est une bulle. Elle aveugle votre discernement à propos de votre identité et vous ne pouvez plus voir le chemin qui est juste, pour vous.
Tout ce qui nous relie à autre chose qu’à notre propre identité vibratoire génère une tension psychique, une angoisse, une anxiété. C’est ce que la société appelle des problèmes de santé mentale.
C’est certain qu’à l’heure actuelle, si vous restez branché.e sur l’un ou l’autre des égrégore Covid, vous risquez de ressentir une tension. De là, vos réactions émotionnelles iront grossir la masse psychique, mais jamais ces énergies ne retourneront nourrir l’humanité.
Ce sont des pertes nettes !
Transgresser l’interdit de sortir du sentiment d’appartenance
L’instinct grégaire de l’Homme stimule son animalité. Toujours assujetties au règne animal, nos décisions les plus inconscientes sont mues par le groupe.
Le signal le plus fort nous permettant d’identifier notre peur de sortir de l’égrégore est le sentiment de transgresser un interdit.
Tant que nous ne faisons pas la lumière sur notre inconscient, notre pensée tend à rester grégaire. Et nos actions, à s’attacher au sentiment d’appartenance. C’est ce qui fait aussi qu’on paye le prix aujourd’hui de ce manque de dimension dans toutes nos actions collectives, dont l’environnement est le plus criant des problèmes.
S’individualiser est un acte de rupture, non seulement avec nos groupes d’appartenance, mais avec les égrégores qui les soutiennent. Ces esprits de groupe sont entretenus par nos émotions via des prières, des mantras (ou informations répétées), des incantations, des rituels, des superstitions.
Toutes les grandes corporations, les grandes instances sont soutenus par ce phénomène psychique, de manière consciente, inconsciente, intentionnelle ou non. L’Homme qui ne se connait pas ignore tout cette mécanique.
La seule manière de sortir d’un égrégore, c’est de trouver le centre de votre être. Tout nous en éloigne présentement : trop de bruit, trop de pollution, trop d’ondes, trop d’informations, trop de travail, trop de cumuls, etc.
La centricité devrait être enseignée à nos enfants, aux travailleurs, aux leaders du monde. C’est ainsi que nous individualiserons notre conscience réellement.
De là, cette conscience visionnaire percera les voiles de forces invisibles (égrégores) au lieu d’en dépendre, d’être à leur merci, sans même le savoir. Et que l’angoisse associée à cette dépendance s’éteindra à tout jamais grâce à la lumière de personnes qui auront le courage de quitter l’illusion de la solidarité.
Ils embrasseront plutôt une nouvelle réalité humaine basée sur une synchronicité naturelle. Laissant derrière lui la compétition et l’arrogance d’un savoir mécanique, ce visionnaire pragmatique ne comptera que sur sa lumière pour créer son destin.
Ainsi, l’individu qui évolue change le monde.
FIN.
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