La procratination est-elle de la paresse ? Vous vous demandez comment vous allez passer à travers votre semaine surchargée, pourquoi vous repoussez toujours à demain les petites tâches (ménage, courses, devoirs, vaisselle, passer au garage, etc). Bien sûr, il y a des cycles de l’énergie qui nous indiquent que nous avons besoin de vacances.

Ne jamais se reposer physiquement ou mentalement et même émotionnellement génère un stress qui augmente le taux de cortisol. Se reposer n’est pas paresseux. La paresse n’est pas de la procrastination. Et procrastiner signifie peut-être aussi que vous avez besoin de vacances.

Mais lorsque la procrastination vous fait souffrir, il faut la regarder autrement et peut-être avec de l’aide extérieure. Elle est un réel problème vécu par 20% de la population. Si vous en faites partie ou connaissez quelqu’un qui en souffre, il y a des solutions, des réflexions, des actions à poser.

Savoir s’entourer

Se sentir dépassé.e fait partie du mauvais signal qui bloque vos actions. Quand j’ai commencé à publier mes livres, je me sentais bloquée parce que je ne savais pas comment faire, qui contacter, par où commencer. Et pourtant, je n’ai pas de problème de discipline ! Au contraire, j’ai écrit 2000 pages avant de publier mon premier livre.

Mais je ne savais pas ce que représentait le monde de l’édition. Je me suis fait une liste de choses à faire, sans vraiment savoir si c’était la bonne chose, sans trop connaître les priorités du domaine. Nous vivons pas mal tous le même sentiment devant l’inconnu. Et on n’a pas besoin d’être un procrastinateur pour bloquer devant des tâches floues. Il faut juste donner plus de précision pour avancer. Et hop !

Donc je suis partie avec ma liste floue et c’est ma sœur qui m’a aidée à passer à l’action malgré ces imprécisions. Elle m’a dit : je vais te téléphoner chaque 2-3 jours pour voir ce que tu as fait. Elle m’a donc aidée à m’assurer une discipline, elle a motivé la part de moi qui voulait, très très fort, résister à passer à une action vaine, sûrement vouée à l’échec, car encore jamais explorée par moi.

Savoir que quelqu’un attendait mes résultats, même brouillons, m’a donné la force où j’ai puisé le courage de faire les appels qu’il fallait, même si je n’étais pas certaine de ce que je voulais obtenir. Il n’y a pas de HONTE à ne pas tout savoir pour se mettre à l’action. Suffit d’avoir un peu d’humilité.

Ce genre de support moral peut faire la différence entre s’accomplir et se replier. Les gens qui avancent ont souvent moins de problèmes de discipline ou de motivation que les autres. La différence entre eux et le procrastinateur, c’est que ce dernier pense qu’il doit se sortir de son blocage tout seul ou que ça va se faire facilement ou il est terrorisé à l’idée de paraître idiot, incompétent, imparfait, brouillon. Bref un lot de honte et de culpabilité englobe sa lumière, son être essentiel.

Responsbilité du sensible

Pour lutter contre la procrastination, vous pouvez trouver beaucoup de conseils sur le sujet sur internet. J’en ai trouvé de très bons sur le site de Sylvaine Pascual et de Passseport santé.

En résumé, ce que vous pourriez faire pour casser votre procrastination :

  • Mettez votre attention sur ce que vous gagnerez à passer à l’action
  • Faites la liste de ces actions
  • Déconstruisez-les en tâches
  • Faites les plus difficiles en premier
  • Développez des automatismes
  • Récompensez-vous par des pauses
  • Fermez vos téléphones et ordinateurs
  • Commencez par vous mettre à la tâche juste pour deux minutes (vous verrez!)
  • Soyez conscient.e de votre énergie la plus productive et passez à l’action à ce moment-là
  • Ne vous culpabilisez pas de ne pas parvenir au but immédiatement.

Ne pas parvenir à son but ne découle pas nécessairement de la procrastination mais d’une période d’apprentissages, d’adaptation, d’intégration. On ne peut pas être bon d’un coup dans quelque chose qu’on n’a jamais pratiqué.

Je rajouterais deux trucs pour éviter de procrastiner, c’est :

  • De prendre conscience de la valeur de l’effort qui met en jeu votre volonté
  • De ne pas donner d’importance au résultat mais au processus.

À travers ces efforts, ce n’est pas le travail qui compte, mais ce que vous apprenez en le faisant. Et le plaisir que vous avez à passer à travers le processus vous fera oublier un jour combien vous aviez peur de passer à l’action.

 Responsabilité de l’hypersensible

Le procrastinateur qui ne parvient pas à sortir de son blocage est celui qui a développé une très grande sensibilité à la cause : honte et culpabilité. Il ne parvient plus à s’adapter à son environnement externe et en même temps, il laisse la honte et la culpabilité prendre la place de son essence. Il est littéralement bloqué entre deux mondes.

Si ce n’est déjà fait, je vous invite ici à mesurer votre sensibilité avec le Test sensimétrique (cliquez FAITES LE TEST sur la bannière) !

Le grand blocage sur le plan psychique, vient du peu de valeur que vous accordez à votre vie et à votre être. Comme si vous en étiez venu.e à penser que s’accomplir dans la vie est vain. En fait, vous avez raison. Ce que vous faites est inutile pour les autres car la leçon ne vaut d’abord que pour vous. Ce que vous êtes ne sert en rien aux autres car ils ont besoin de leurs propres leçons, d’expériences différentes pour évoluer.

La charge émotionnelle est parfois si intense face au manque d’estime, qu’on se sent impuissant face à elle. C’est toujours plus «payant» d’apprendre à vivre ses émotions plutôt que de les refouler.

Il y a chez le procrastinateur, un passif-agressif qui entretient une mauvaise relation avec les mécanismes de l’émotion. Ils servent à transformer notre être et non à subir un marasme.

Pour sortir du problème, il faut aussi traiter le corps qui a accumulé la charge émotive et l’a cristallisée. Vous ne pouvez pas toujours lutter contre l’inertie juste par la bonne volonté et par la motivation. Il y a parfois un ménage de fond à faire, du fait du conditionnement, de ce qu’on a appris et qui ne sert plus ou qui nous étouffe.

Une fois que vous avez épuré l’émotion, votre essence redevient pour ainsi dire claire et pure. Vous ressentez à nouveau votre être. Votre vie reprend son sens. Non pas raisonnablement, mais au sens où vous résonnez avec la vie à nouveau. Alors vous êtes apte à lui redonner une valeur.

Responsabilité du suprasensible

Une fois que vous résonnez avec votre être et lui accordez sa place, c’est-à-dire sa valeur, vous êtes prêt.e à revenir dans notre monde marchand où tout est basé sur ce système d’échange de valeur.

Évidemment, d’autres blocages peuvent encore vous empêcher de parvenir à offrir la richesse de votre être aux autres. Ils viennent de votre incompréhension face au ressort de la volonté. Ou bien d’une faille d’âme qui vous empêche de briser complètement le conditionnement d’une croyance limitante, englobante.

Votre sensibilité, c’est votre tension créatrice

Si vous avez été habité.e toute votre vie par l’orgueil, vous aurez du mal à ouvrir vos niveaux de sensibilité car vous vous sentez vulnérable. La sensibilité englobée par une croyance devient un sentiment.

Si vous avez été habité.e toute votre vie par un sentiment de culpabilité et de honte, vous aurez tendance à croire que vos état émotifs sont une partie essentielle de votre être, plutôt qu’un simple agent de coloration de votre état général. C’est parce que l’émotion est encore refoulée.

L’état de votre ressort intérieur

Les sentiments ne sont pas la réalité. Et la réalité ne vient pas du monde extérieur ni de votre cerveau ! Eh non ! Votre réalité vient de votre tension créatrice interne (abordé dans nos programme de formation).

La tension créatrice est comme un ressort qui tient une charge sur le plan mental. Nous l’appelons charge mentale. Elle est neutre.

Ce ressort, c’est ce qui vous propulse dans l’action. Parfois on vit trop intensément et on tire sur le ressort de sorte qu’il ne se replace plus dans sa forme de spirale. On a tout donné, trop donné, sans que la vie nous ramène l’équivalent. On en veut aux autres pour leur manque de considération, de reconnaissance, d’approbation. Alors on cesse de rebondir.

D’autres fois, le ressort a été si fortement tendu ou écrasé, qu’il casse. C’est le cas de traumatisme de guerre ou de viol ou encore de violence (verbale ou physique) répétée. Ce ressort est difficile à reconstruire mais la personne peut parvenir à guérir profondément, si elle suit le fil de sa tension créatrice jusqu’au plan supramental. Là, il y aura guérison permanente.

Enfin, il arrive qu’une personne refoule le ressort pour ne plus vivre de souffrance et même de la douleur physique. La honte et la culpabilité deviennent des agents de repli sur soi dès qu’une personne déclenche ces émotions. Ce qui donne l’impression au procrastinateur de la permanence de son inertie. Derrière ça, se cache souvent une grande terreur subconsciente ou la peur d’avoir peur de ses émotions. Cette double peur peut faire craindre de perdre la raison devant l’aspect irrationnel des mécanismes internes (émotions et tension créative).

C’est ainsi que, au-delà de la psychologie classique, la psychologie évolutionnaire vous amène dans l’univers supramental, là où votre tension créatrice prend racine. Pour comprendre le monde mental, en tant que dimension, il faut avoir vécu des chocs de conscience et avoir réparé l’impact de ces chocs sur notre âme.

Les étapes libératrice du procrastinateur

Dans cette dimension intérieure, le procrastinateur peut apprendre à reconnaître la valeur de son expérience et de son évolution. Il connaitra alors le pardon, l’amour de soi et développera une conscience plus éclairée de sa propre valeur intérieure.

Un procrastinateur qui a vécu des traumatismes risque d’avoir fermé la porte à tout autre choc. Comprendre qu’il n’y a que les chocs qui ouvrent la conscience – et ils n’ont pas besoin d’être puissants – permet aussi au procrastinateur de changer son système d’évaluation des défis qu’il a à relever.

1. Se détacher du monde extérieur pour apprendre ce qui l’habite et le domine est la première étape d’où peut émerger un grand élan qui remettra la personne en action dans sa vie.

2. Se donner une valeur commerciale ne sert que dans le monde extérieur. Ce qui fait vibrer votre être, c’est sa valeur vibratoire. Elle vous sert à réussir en conscience l’épanouissement de votre essence responsable de votre paix mentale et donc, de votre qualité de vie.

Une fois que vous comprenez la valeur de votre évolution, vous pouvez en transmettre le principe à autrui.

3. La dernière étape : vous êtes responsable de décider si vous offrez cette valeur aux autres ou non. Si vous l’offrez, c’est que vous avez DÉCIDÉ que votre vie valait quelque chose.

Vous n’avancez pas parce qu’on vous tend la main, mais parce que vous ouvrez les bras à votre expérience, pour donner une valeur à votre être essentiel. Généralement, c’est ça qui nous rend heureux.

Surtout lorsqu’on est jeune, il est préférable d’apprendre à canaliser son énergie dans des actions propres à soi, et qui vont nous apprendre à mûrir, à voir plus large et plus profond.

Il n’y a rien de plus riche et de plus stabilisant comme expérience que de laisser mourir les idéologies pour devenir simplement soi-même !

Et lorsque nous avons tous pour objectif le meilleur pour notre être, nous formons une société plus allumée, plus vibrante, plus stable et plus vivante.

Sylvie Bergeron, professeur de psychologie évolutionnaire

Responsabilité du sensible

Pour lutter contre la procrastination, vous pouvez trouver beaucoup de conseils sur le sujet sur internet. J’en ai trouvé de très bons sur le site de Sylvaine Pascual et de Passseport santé.

En résumé, ce que vous pourriez faire pour casser votre procrastination :

  • Mettez votre attention sur ce que vous gagnerez à passer à l’action
  • Faites la liste de ces actions
  • Déconstruisez-les en tâches
  • Faites les plus difficiles en premier
  • Développez des automatismes
  • Récompensez-vous par des pauses
  • Fermez vos téléphones et ordinateurs
  • Commencez par vous mettre à la tâche juste pour deux minutes (vous verrez!)
  • Soyez conscient.e de votre énergie la plus productive et passez à l’action à ce moment-là
  • Ne vous culpabilisez pas de ne pas parvenir au but immédiatement.

Ne pas parvenir à son but ne découle pas nécessairement de la procrastination mais d’une période d’apprentissages, d’adaptation, d’intégration. On ne peut pas être bon d’un coup dans quelque chose qu’on n’a jamais pratiqué.

Je rajouterais deux trucs pour éviter de procrastiner, c’est :

  • De prendre conscience de la valeur de l’effort qui met en jeu votre volonté
  • De ne pas donner d’importance au résultat mais au processus.

À travers ces efforts, ce n’est pas le travail qui compte, mais ce que vous apprenez en le faisant. Et le plaisir que vous avez à passer à travers le processus vous fera oublier un jour combien vous aviez peur de passer à l’action.

Responsabilité de l’hypersensible

Le procrastinateur qui ne parvient pas à sortir de son blocage est celui qui a développé une très grande sensibilité à la cause : honte et culpabilité. Il ne parvient plus à s’adapter à son environnement externe et en même temps, il laisse la honte et la culpabilité prendre la place de son essence. Il est littéralement bloqué entre deux mondes.

Si ce n’est déjà fait, je vous invite ici à mesurer votre sensibilité avec le Test sensimétrique (Cliquez FAITES LE TEST sur la bannière de cette page https://www.facebook.com/groups/4040356252713143) !

Le grand blocage sur le plan psychique, c’est le peu de valeur que vous accordez à votre vie et à votre être. Comme si vous en étiez venu.e à penser que s’accomplir dans la vie est vain. En fait, vous avez raison. Ce que vous faites est inutile pour les autres car la leçon ne vaut d’abord que pour vous. Ce que vous êtes ne sert à rien aux autres car ils ont besoin de leçons, d’expériences différentes pour évoluer.

La charge émotionnelle est parfois si intense qu’on se sent impuissant face à elle. C’est toujours plus «payant» d’apprendre à vivre ses émotions plutôt que de les refouler. Il y a chez le procrastinateur, le passif-agressif qui entretient une mauvaise relation avec les mécanismes de l’émotion.

Pour sortir du problème, il faut aussi traiter le corps qui a accumulé la charge émotive et l’a cristallisée. Vous ne pouvez pas toujours lutter contre l’inertie juste par la bonne volonté et par la motivation. Il y a parfois un ménage de fond à faire, au creux de son conditionnement, de ce qu’on a appris et qui ne sert plus ou qui nous étouffe.

Une fois que vous avez épuré l’émotion, votre essence redevient pour ainsi dire claire et pure. Vous ressentez à nouveau votre être. Votre vie reprend son sens. Non pas raisonnablement, mais au sens où vous résonnez avec la vie à nouveau. Alors vous êtes apte à lui redonner une valeur.

Responsabilité du suprasensible

Une fois que vous résonnez avec votre être et lui accordez sa place, c’est-à-dire sa valeur, vous êtes prêt.e à revenir dans notre monde marchand où tout est basé sur ce système d’échange de valeur.

Évidemment, d’autres blocages peuvent encore vous empêcher de parvenir à offrir votre valeur aux autres. Ils viennent de votre incompréhension psychique à comprendre le ressort de la volonté ou encore, d’une faille d’âme qui vous empêche de briser complètement le conditionnement d’une croyance qui vous étouffe, vous englobe (à votre insu ou non).

Si vous avez été habité.e toute votre vie par l’orgueil, vous aurez du mal à ouvrir vos niveaux de sensibilité car vous vous sentez vulnérable. La sensibilité englobée par une croyance devient un sentiment. Si vous avez été habité.e toute votre vie par un sentiment de culpabilité et de honte, vous aurez tendance à croire que vos état émotifs sont une partie essentielle de votre être, plutôt qu’un simple agent de coloration de votre état général. C’est parce que l’émotion est encore refoulée.

L’état de votre ressort intérieur

Les sentiments ne sont pas la réalité. Et la réalité ne vient pas du monde extérieur ni de votre cerveau ! Eh non ! Votre réalité vient de votre tension créatrice interne.

La tension créatrice n’est pas confortable. C’est elle qui tient la charge mentale de votre créativité.

Ce ressort, c’est ce qui vous propulse dans l’action. Parfois on vit trop intensément et on tire sur le ressort de sorte qu’il ne se replace plus dans sa forme de spirale. On a tout donné, trop donné sans que la vie nous ramène l’équivalent. On en veut aux autres pour leur manque de considération, de reconnaissance, d’approbation. Alors on cesse de rebondir.

D’autres fois, le ressort a été si fortement sous tendu ou écrasé, qu’il casse. C’est le cas de traumatisme de guerre ou de viol ou encore de violence (verbale ou physique) répétée. Ce ressort est difficile à reconstruire mais la personne peut parvenir à guérir profondément, si elle suit le fil de sa tension créatrice jusqu’au plan supramental. Là, il y aura guérison permanente.

Enfin, il arrive qu’une personne refoule le ressort pour ne plus vivre de souffrance et même de la douleur physique. La honte et la culpabilité deviennent des agents de repli sur soi dès qu’une personne déclenche ces émotions. Ce qui donne l’impression au procrastinateur de la permanence de son inertie. Derrière ça, se cache souvent une grande terreur subconsciente ou la peur d’avoir peur de ses émotions. Cette double peur peut faire craindre de perdre la raison devant l’aspect irrationnel des mécanismes internes (émotions et tension créative).

C’est ainsi que, au-delà de la psychologie classique, la psychologie évolutionnaire vous amène dans l’univers supramental, là où votre tension créatrice prend racine. Pour comprendre le monde mental, en tant que dimension, il faut avoir vécu des chocs de conscience et avoir réparé l’impact de ces chocs sur notre âme.

Dans cette dimension intérieure, le procrastinateur peut apprendre à reconnaître la valeur de son expérience et de son évolution. Il connaitra alors le pardon, l’amour de soi et développera une conscience plus éclairée de sa propre valeur intérieure.

Un procrastinateur qui a vécu des traumatismes risque d’avoir fermé la porte à tout autre choc. Comprendre qu’il n’y a que les chocs qui ouvrent la conscience – et ils n’ont pas besoin d’être puissants – permet aussi au procrastinateur de changer son système d’évaluation des défis qu’il a à relever.

1. Se détacher du monde extérieur pour apprendre ce qui l’habite et le domine est la première étape d’où peut émerger un grand élan qui remettra la personne en action dans sa vie.

2. Se donner une valeur commerciale ne sert que dans le monde extérieur. Ce qui fait vibrer votre être, c’est sa valeur vibratoire. Elle vous sert à réussir en conscience l’épanouissement de votre essence responsable de votre paix mentale et donc, de votre qualité de vie.

Une fois que vous comprenez la valeur de votre évolution, vous pouvez en transmettre le principe à autrui.

3. La dernière étape : vous êtes responsable de décider si vous offrez cette valeur aux autres ou non. Si vous l’offrez, c’est que vous avez DÉCIDÉ que votre vie valait quelque chose.

Vous n’avancez pas parce qu’on vous tend la main, mais parce que vous ouvrez les bras à votre expérience, pour donner une valeur à votre être essentiel. Généralement, c’est ça qui nous rend heureux.

Surtout lorsqu’on est jeune, il est préférable d’apprendre à canaliser son énergie dans des actions propres à soi, et qui vont nous apprendre à mûrir, à voir plus large et plus profond.

Il n’y a rien de plus riche et de plus stabilisant comme expérience que de laisser mourir les idéologies pour devenir simplement soi-même !

Et lorsque nous avons tous pour objectif le meilleur pour notre être, nous formons une société plus allumée, plus vibrante, plus stable et plus vivante.

Sylvie, professeur de psychologie évolutionnaire