38 ans, père de deux enfants, entrepreneur
Coaching : Nous avons regardé les sentiments qui l’ont conduit à prendre des mauvaises décisions.
Thérapie : Nous avons traité les émotions dans son corps pour qu’il se libère viscéralement de ses peurs (peur de perdre ses acquis incluant sa femme).
Pratique : Prise en compte de différents « trucs personnalisés » pour qu’il exprime sa sensibilité honnêtement et sans orgueil, avec sa femme et sa famille.

Gestion de la tension créatrice : Jonathan a réalisé qu’il a beaucoup d’agressivité qui lui vient de nulle part et, ne sachant comment gérer, il tend à les étouffer. Il a pris conscience qu’il doit trouver un équilibre physique. Suggestion : Faire un effort physique régulièrement, être attentif à ses pulsions et les apprivoiser car derrière se cache la tension créatrice nécessaire à l’action.

53 ans, mère de 3 enfants, employée
Coaching : Nous avons identifié la source psychique de sa lourdeur (responsabilité et culpabilité face à la famille) et examiné les peurs qui l’empêchent d’accorder de l’importance à sa propre personne.
Thérapie : Lise a libéré la charge affective qui lui pesait tant. Elle a laissé aller une résistance dans son corps face à sa propre énergie interne qui l’oppressait au niveau du coeur.
Pratique : Plusieurs « trucs personnalisés » l’ont aidée à se mettre concrètement dans l’action dont accepter de ne pas être parfaite et que son juge intérieur n’est pas la réalité de son moi. Développer son « témoin intérieur » l’a grandement aidée à prendre une distance face à ses schémas de pensée.

Gestion de la tension créatrice : Lise a du mal avec l’agressivité des autres, elle craint la violence et s’interdit elle-même une « saine » colère pour prendre sa place. Elle écrase sa « colonne vertébrale psychique », c’est-à-dire la tension qu’elle doit conserver dans une intention. La culpabilité est souvent au centre de ce problème. Suggestion : Apprendre à être attentive à ses intentions et à la tension qu’elles génèrent. Apprivoiser la peur de se tenir debout pour se faire respecter. Prendre conscience de ses intentions lui permettront de suivre le fil de sa Guaya, son destin à elle et non celui des autres.

44 ans, sans enfant, entrepreneur en technologie

Coaching : Nous avons étudié ce qui bloquait la créativité d’Éric et nommé un sentiment d’interdit qui l’empêchait de se dépasser créativement.
Thérapie : Éric a vécu une expérience spontanée qui a débloqué son fluide énergétique dans sa colonne vertébrale, ce qui a élargi sa conscience de lui-même.
Pratique : Nous avons identifié une nouvelle vision créative pour son entreprise et établi un démarche de restructuration globale.

À sa demande, nous avons adapté des segments de la formation Le Créateur et offert quelques classes au bureau.

Gestion de la tension créatrice : La confusion est le symptôme du doute. Et le doute relève d’un manque de connaissance de soi et des mécanismes psychiques. Éric a saisi l’importance de formuler ses doutes clairement pour les sortir de la zone grise. Lorsqu’il joue au chat et à la souris, la tension créatrice ne peut jamais soutenir ses actions. Suggestion : Apprendre à reformuler ses objectifs tout en acceptant qu’il peut se tromper, mais que ce n’est pas important. C’est le fil de sa guaya qu’il tire en faisant cet exercice !

34 ans, à l’emploi d’une firme d’avocat, pas d’enfant

Coaching : Nous avons examiné les sentiments qui entrainent Louisa à accepté qu’on lui manque de respect.
Thérapie : Louisa a revécu un traumatisme et nous avons déterré et traversé ensemble la terreur enfouie dans son corps.
Pratique : Nous avons regardé comment se faire respecter en ne laissant pas les autres lui dire comment elle se sent à sa place et comment faire face à un intimidateur.

Gestion de la tension créatrice : Apprendre à ne pas donner les rennes de sa tension aux autres est le fondement de son pouvoir d’affirmation. Mais lorsqu’on ne sait pas ce que l’on veut, la tension créatrice devient elle-même harcelante. Elle tente de donner des impulsions psychiques à notre être pour qu’il passe à l’action. Suggestion : Louise apprend à apprivoiser le sentiment de harcèlement dans son propre esprit plutôt que de voir des ennemis partout. Ainsi elle apprend à maitriser sa guaya.

52 ans, père de 2 enfants, travailleur

Coaching : Nous avons identifié chez Hamad une manière de communiquer qui agit comme une agression sur sa fille. Cette agressivité cache une peur du père : il craint que sa fille ne devienne jamais autonome.
Thérapie : Hamad a évacué sa peur en prenant conscience qu’il se sentait piégé par son sentiment de responsabilité, et calmé par les solutions apportées.
Pratique : Des « trucs personnalisés » tel la douceur, ne plus poser de question pendant une période x pour laisser sa fille prendre son propre espace, etc.

Gestion de la tension créatrice : Ici Hamad s’ingère carrément dans la tension créatrice de sa fille parce qu’il se projette à son âge. Suggestion : Se rappeler d’où il vient, retraverser « avec » sa fille ses propres doutes et inquiétudes plutôt que de lui reprocher. Saisir que nous avons toute la vie pour apprendre à nous connaitre et que les événements extérieurs ne sont que des pierres qui nous permettent de paver notre chemin.

27 ans, travailleur autonome, pas d’enfant

Coaching : Nous avons identifié la pression que subit Mathieu. La forme-pensée qui le suit partout lui parle de l’impossibilité de réussir lorsqu’on reste intègre à soi : « The good guy never wins ».
Thérapie : Nous avons fait un exercice de respiration pour libérer le trop-plein émotif dans la poitrine de Mathieu. Son souffle a pu redescendre dans son ventre. La panique est partie et il s’est senti nettement plus calme.
Pratique : Un « truc général » pour les problèmes de stress est la reconnaissance des mauvais comportements respiratoires imprimés dans le corps (portion thérapie). Mathieu a pu identifier les schémas de pensées qui aliment son hypersensibilité. Des « trucs personnalisés » lui ont permis de nous assurer que son hypersensibilité servirait sa créativité plutôt qu’être un souffre-douleur (voir à ce sujet la formation Le Créateur).

Gestion de la tension créatrice : L’émotivité est une puissante clé qui nous permet de détruire des schèmes de pensées, mais il faut en comprendre les mécanismes (voir la formation Le Créateur, Niveau 1). Suggestion : Mathieu a saisi l’importance d’observer ses émotions plutôt que de les juger. Au lieu qu’elle se retournent contre lui et le paralysent, il les utilise pour se transformer.

35 ans, 1 enfant, cadre

Coaching : Nous avons identifié que Soraya a accumulé les déceptions, ce qui a éteint son désir. Elle n’a pas pris le temps de nommer ses besoins et au fil du temps, sa relation s’est détériorée.
Thérapie : Soraya a évacué un grand lot de tristesse de son corps et a pu traverser la sensation douloureuse qu’elle éprouvait physiquement dans son coeur. Elle en est sortie revitalisée.
Pratique : Soraya a fait l’exercice d’observer certains endroits dans son corps au moment où elle répond aux besoins de l’autre. Si elle ressent une fermeture, elle doit prendre en compte ce signal du corps et apprendre à se respecter. Elle doit conscientiser qu’elle éteint son désir chaque fois qu’elle agit contre son gré. Si elle se respecte, elle aura plus d’énergie et donc plus confiance en elle et elle se trouvera plus belle et plus attirante.

Gestion de la tension créatrice : La question du couple est un livre en soi ! Tout le monde à différent niveau peut se confondre dans l’identité de l’autre lorsque nos énergies sont intimement entremêlées. Suggestion : Apprendre à s’individualiser en acceptant l’impression de rupture qui en découle. C’est un long processus de déprogrammation universelle que tout le monde a intérêt à étudier.

42 ans, entrepreneur en usinage
Coaching : Nous avons identifié que Pierre a perdu le contrôle des communications avec ses employés à partir du moment où ses ventes ont chuté. Il s’est isolé pour relever l’entreprise en prenant toute la responsabilité sur ses épaules au lieu de s’ouvrir aux employés.
Thérapie : Nous avons fait des exercices de respiration pour dégager la sensation de confinement, de manque d’air. Lorsque le noeud émotif s’est débloqué, Pierre a senti un courant de vitalité circuler dans tout son corps. Son état d’esprit était nettement plus clair après la séance.
Pratique : L’un des « trucs personnalisés » : j’ai demandé à Pierre qu’il observe les moments où il se referme devant ses employés. Il a étudié ce qu’il « ressent » dans son corps à ce moment-là et a appris à ne plus se laisser enfermer par le sentiment de responsabilité. Autre truc suggéré : Ne pas se prendre au sérieux lui a permis d’améliorer ses communications.

Par la suite, nous avons fait des ateliers sur l’intégrité dans la communication avec les employés.

Gestion de la tension créatrice : Pierre est prisonnier de ce que j’appelle la « Loi du prédateur ». Il se sent aliéné à la culture du marché qui ne laisse aucun espace créatif dès que la personne ne « rapporte » pas au système des prédateurs. Pour en sortir, il doit développer les racines de son identité. Et l’identité, c’est le fait de soutenir sa propre tension créatrice…