La génération #écoanxieuse est le produit de la #cybernétique. Choisir une #autiste pour dénoncer le laxisme sur l’#environnement fait partie de cette «science de l’information» implantée dans tous les secteurs de nos #universités depuis la Seconde Guerre.

Voici ce dont il sera question dans cet article :

  • L’environnement indiffère
  • Je ne suis plus seule
  • La prochaine génération polluera tout autant que la précédente
  • La génération éco-anxieuse, produit de la cybernétique
  • La solution supra-humaniste

«Vous avez volé mes rêves, mon enfance», lance une Greta Thunberg la rage au cœur. Je comprends tellement sa révolte.

Mais ce «VOUS» qu’elle accuse… Les chefs d’États, les gouvernements de la planète ? Comment peuvent-ils agir quand vous leur demandez d’un côté des mesures pour moins polluer et que de l’autre vous consommez à la tonne des téléphones, des VUS, des jeux, des livres, des ordinateurs, etc, qui orientent les décisions des grandes entreprises.

Donc «VOUS» ! C’est moi, c’est mon voisin, c’est le député, le citoyen, c’est aussi Greta. Tous nous achetons de ces multinationales. Nous nourrissons un système de nos déchets de consommation. Alors «VOUS«, c’est un système… «Vous avez volé mes rêves, monsieur le système, et mon enfance !»

Bien sûr, ce que fait Greta est positif pour l’éveil des jeunes et moins jeunes mais sans portée réelle si, après le réveil, personne ne s’occupe du grenouillage au cœur des mauvaises décisions.

Depuis que j’ai 20 ans, la question du territoire me préoccupe dans toutes ses dimensions. La clé d’une écologie équilibrée se trouve indéniablement dans l’agriculture biologique qui représente plus de 10000 emplois au Québec et dans la permaculture, solution au développement durable.  L’agriculture intensive, comme pratique principale pour nourrir la planète, est «non durable et totalement inefficace. Elle utilise plus de ressources et d’énergie qu’elle n’en produit – surfaces agricoles, eau, pétrole – et est une grande productrice de gaz à effet de serre, avec 10 % des émissions nationales totales en 2012, selon Environnement Canada*… Et les coûts en matière d’économie, de santé et d’écosystèmes sont faramineux.»

Cette gestion de l’agriculture devrait être au coeur de nos vies, puisque nous mangeons tous les jours. Mais nous laissons les agriculteurs gérer seuls tout le problème de la souveraineté alimentaire et de l’environnement, dans la plus grande indifférence. Et surtout les agriculteurs bio, qui, eux, ont des solutions !

Et si chaque supporteur du mouvement de Greta commençait par se tourner vers les terres de son pays et donnait son plein support aux agriculteurs biologiques ? Ceux qui se défendent de peine et de misère contre les pesticides des multinationales et autres pratiques polluantes (pétrole, engrais chimiques, etc.), si on les aidait concrètement, chaque jour ?

Les agriculteurs biologiques qui travaillent sur le terrain ont beaucoup plus besoin de votre soutien que Greta. Vous aimez ses discours, ses mises en scène. Mais sérieusement, qui va implanter des solutions innovantes pour FAIRE la transition ?

Ça fait 1/2 siècle que des gens de terrain s’activent dans l’ombre et rien n’a changé. Saluer leur combat, leur travail, les remercier d’avoir réussi, bien avant tout le monde, à percer une brèche malgré l’indifférence collective. Ces personnes, il faut aussi les mettre en lumière, car en les éclairant, on pointe les réels problèmes. Et leurs solutions.

Un grand défenseur de l’écologie : Roméo Bouchard, co-fondateur de l’Union paysanne

L’environnement indiffère

J’ai œuvré pour Greenpeace dans les années 80. Je faisais du porte-à-porte pour sensibiliser les gens.

C’était emballant de se dire qu’on pouvait améliorer le sort de la planète. Greenpeace m’offrait de changer le monde à chaque porte où monsieur madame tout le monde daignait m’ouvrir. J’éclairais d’un discours. On avait des exemples concrets.

  • Bonjour monsieur, je travaille pour Greenpeace.
  • On voudrait vous sensibiliser à l’environnement.
  • Je ne suis pas responsable de la pollution.
  • Ah ! Mais c’est de votre santé que je voudrais vous parler !
  • Vous buvez du café ?
  • Qu’est-ce qu’y a, c’est pas bon pour la santé ???
  • Oui ! Le café c’est bon, mais… Vous buvez du café filtre ?
  • Oui, pourquoi ?
  • Justement, nous voudrions vous laisser savoir que dans les filtres que vous utilisez, il y a de la dioxine.
  • De la quoi ?
  • De la dioxine. Ça sert à blanchir la pâte du papier utilisée dans les filtres à café et les pintes de lait. C’est un produit toxique à la base…
  • Je ne suis pas responsable de ça, moi.
  • …et si vous utilisez les filtres à café qui sont blanchis, vous consommez un café toxique et ça pollue la terre. On vous propose une solution.
  • Mais je ne suis pas malade !
  • C’est par prévention, monsieur, qu’on vous parle de ce problème. Pour prévenir des problèmes de santé. Et vous, en tant que consommateur, vous avez le pouvoir de changer les choses.

Le monsieur fait la moue.

  • On vous propose des filtres non-blanchis. J’en ai un échantillon. Voyez-vous ? Ils coûtent moins ch…
  • Non merci. Je n’ai besoin de rien. Je suis en santé.
  • Et pensez à l’environnement aussi. Les déchets toxiques produits par la dioxine sont…
  • Je ne suis pas responsable.

Je suis restée 3 semaines à l’emploi de Greenpeace pour le porte-à-porte. Confuse, découragée, je comprenais que le public ne se préoccupait pas de ce qui l’entoure. Ce qui les intéresse, c’est de consommer sans se poser de questions. J’ai ravalé mes ambitions. J’ai oeuvré autrement.

J’ai compris que le message des environnementalistes nécessite souvent des actions excessives pour que les médias en parlent. Mais ces excès donnent lieu à la controverse, ce qui rate la cible. Une partie du public, très peu friande de déranger son confort, a toujours pris les activistes environnementalistes pour des terroristes, et l’autre partie pour des sauveurs. J’ai toujours admiré leur courage, mais jamais je ne leur attribuerai un statut de terroristes, encore moins de sauveurs… Même à une jeune fille autiste comme Greta. Car la protection de l’environnement, c’est une affaire quotidienne, individuelle, inlassable.

Je ne suis plus seule

Le temps a passé et a fait son œuvre. Les bacs verts sont apparus. J’ai pu sensibiliser ma progéniture et j’ai marché lors de la grande manifestation organisée par Dominique Champagne, au printemps 2012. Ce fut un moment grandiose. De ceux qui marquent l’imaginaire. Nous étions trois cent mille selon les organisateurs. Nous marchions dans la rue pour protéger notre environnement, conscients de l’urgence du geste. La lucidité collective faisait son œuvre.

Je n’étais plus seule devant chaque porte. Je pouvais enfin espérer.

Je suis de la génération X, toute proche des boomers. Je n’ai jamais pensé – et ne le pense toujours pas – que les problèmes d’environnement pouvaient être le fait d’une seule génération. La vague pro-environnementale actuelle est portée par une campagne massive internationale bien organisée.

Mais je crois que nous obtiendrons des résultats, si nous cessons d’être l’otage des lobbys des plus riches.

Le coupable : L’économie doit continuer sa croissance. C’est la seule priorité des gouvernements. Celle aussi des consommateurs. Ils ont besoin de s’enrichir pour acheter et pour cumuler un fonds de pension.

C’est un « système » qui nous aliène à un rythme sans fin de croissance économique, au-delà des ressources de la terre. Le coupable, c’est donc tout le monde. Et puisque chacun de nous pollue, personne n’a brisé le rêve de personne.

D’ailleurs depuis la grande marche de 2012, rien. Si peu de la part des gouvernements. La Conférence de Paris ne répond pas aux attentes. Chacun campe dans sa position, commandé par un impératif économique national. Alors que pouvons-nous espérer de cette campagne de relation publique pro-environnementale mondiale à grand déploiement, quand les gens continuent de se moquer du quotidien des agriculteurs, de l’économie locale ?

La prochaine génération polluera tout autant que la précédente

La mobilité internationale est un trait de caractère du nomadisme humain. Depuis toujours, et particulièrement depuis la Renaissance, elle est le moteur de notre modèle économique : un marché ouvert crée une richesse infinie contrairement à un circuit fermé.

Être ouverts sur le monde. On l’a toujours été. Ce qui est différent c’est qu’on a ouvert L’ÉCONOMIE sur le monde. Qui a fait ça ? Les leaders de l’économie qui s’enrichissent partout et ne paient de taxes nulle part.

Voilà le mondialisme. C’est le crédo des jeunes. Ce mondialisme aura un coût environnemental dont la jeunesse devrait prendre le pouls dès à présent.

En effet, on sait maintenant que nos outils technologiques seront très polluants

« Si nous ramenons la consommation d’Internet en termes d’utilisateurs, ces derniers sont responsables de près de 50 % des émissions de gaz à effet de serre produites par Internet. Chacun des internautes produit 200 kilogrammes (kg) de gaz à effet de serre et consomme 3 000 litres d’eau par année. »

Selon un rapport de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), 10% de l’électricité mondiale est utilisée par l’informatique. Cet article de TV5 énumère les étapes du cycle de vie des objets numériques. De l’extraction polluante et chère des matières premières en passant par l’énorme consommation d’énergie pour stocker, le coût environnemental du transport et des déchets toxiques non dégradables. Sans compter que nous n’avons pas réduit la consommation de papier.

Mais le pouvoir d’attraction des objets numériques est indéniable. L’ampleur des technologies issues de la cybernétique donne accès au monde entier, au potentiel gigantesque des marchés de l’économie : c’est difficile de résister à ce plat de bonbon !

Résultat : nous passons massivement d’une économie industrielle, toujours active et polluante (pétrole, charbon, produits chimiques), à une économie numérique, tout aussi polluante.

La génération éco-anxieuse, produit de la cybernétique

Présentement, par la crise du climat, les jeunes marquent plutôt l’empreinte d’une nouvelle génération mondialiste dont ils sont fiers. Mais vont-ils réellement faire changer les choses ?

Sans le savoir, cette génération est le fruit de l’intégration de la cybernétique, un pollueur important de notre avenir. La cybernétique s’est développée dans tous les domaines de la vie. Les jeunes continueront de polluer autant, même quand les Baby Boomers seront morts. Qui leurs enfants accuseront-ils, dans 15 ans, si la planète devient un gigantesque plan d’eau verte fluo, un tas de bouette ? L’ONU ?

Pour comprendre vers quel contexte mondial nous nous dirigeons, je vous recommande la lecture de L’empire cybernétique de Céline Lafontaine.

À lire pour comprendre l’imaginaire des technosiences qui régit nos vies

L’EMPIRE CYBERNÉTIQUE, Céline Lafontaine

Surprenant et choquant, cet éclairage sur l’imaginaire des technosciences illustre parfaitement l’avènement du Cyborg dans lequel nous baignons déjà. Lafontaine en décrit la genèse tout en nous éclairant sur l’anxiété de disparaître.

Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, Norbert Wiener a su fasciner avec sa vision du monde. Ayant souffert du traumatisme de l’Holocauste, toute sa recherche a visé à contrer le chaos de la guerre et l’angoisse de l’impuissance. Pour Wiener, l’homme-machine ou la machine intelligente serait la réponse existentielle de l’homme afin qu’il puisse reprendre sa place et que, plus jamais, le chaos ne gagne sur l’ordre.

Évidemment, les recherches de Wiener furent immédiatement récupérées par le militaire. De là est né le www. World Wide Web. Et la première Conférence Macy, en 1946, a donné l’imprimatur collectif de notre monde virtuel actuel. Elle est le berceau du Cyborg. Une série de 10 conférences regroupant les plus grands cerveaux sur le comportement humain et l’apprentissage du contrôle a donné le coup d’envoi à la cybernétique. Elle est la science du contrôle et de l’information.

Ces études à saveur militaire sont entrées dans tous les champs de compétences universitaires, depuis la Seconde Guerre mondiale. Dans les sciences humaines et sociales plus spécialement. D’où l’incompréhension des jeunes face à l’humanisme qui nous a toujours guidé.

Les travaux qui en ont découlé, dans toutes les sphères de recherches, ont fait en sorte de dévaloriser l’humain et de survaloriser la machine.

Pour développer une machine intelligente et un humain qui y soit connecté en tout temps, il fallait comprendre comment dépasser les limites liées à l’inconscient afin de s’assurer que le sujet communique clairement l’information.

« Wiener et ses collègues proposent en fait un nouveau modèle scientifique orienté exclusivement vers l’étude des relations qu’entretiennent les objets avec leur environnement. Qualifiée, sans autre distinction, de fonctionnelle, l’approche scientifique axée sur l’analyse des composantes structurelles de l’objet, est rejetée au profit de la méthode comportementale, fondée sur une épistémologie relationnelle ». Céline Lafontaire, L’empire cybernétique, éd. du Seuil. p. 32

En gros : Pour ne plus faire d’erreur (problème de terrain en temps de guerre) et ne pas être englouti par le chaos, il faut éliminer les structures humaines : sa psyché, bref son inconscient. On ne tient compte que du comportement extérieur via les relations. Ainsi seulement on peut soumettre une information sans erreur, de manière ordonnée et efficace, dans un contexte relationnel.

La solution de Wiener pour contrer l’angoisse du chaos, qu’il provienne de catastrophe de la guerre ou du climat, fut d’annuler l’intériorité humaine.

À leur insu, les jeunes sont conditionnés par les universités et le marché de l’économie pour répondre à leur environnement extérieur et éviter leur environnement intérieur : leur psyché.

En éliminant ainsi les profondeurs humaines, il n’y a plus de distinction entre la machine intelligente et l’humain. Ce dernier est réduit à un simple support d’information au même titre qu’une machine.

Choisir une autiste à la tête d’une grande campagne de relation publique sur la crise climatique se situe tout à fait dans la logique du cheminement cybernétique. Une jeune fille dont le système émotif déficient l’éloigne de sa psyché, nous informe comment nous devrions nous comporter en évoquant le chaos de Wiener. Ce n’est pas naturel pour une grande partie de la population de recevoir un message de la part d’une personne sans autonomie intérieure. Et pour l’autre partie, elle est éblouissante, voire messianique. Mais dans tous les cas, 1. on reçoit bien le message d’un chaos imminent, 2. On normalise l’idée qu’un humain n’est qu’un comportement et qu’il peut réussir sans se préoccuper de ses structures intérieures.

Voilà le contexte historique dans lequel notre humanité se perd. La cybernétique, tant par ses objets polluants que par l’état d’esprit qu’elle produit,  poussera les jeunes d’aujourd’hui à perpétuer le cycle de dégradation de l’environnement. Et à l’instar de leur « père anonyme » Wiener, ils appréhenderont le chaos, ils renieront l’inconscient au profit d’une information rationnelle de surface, érigée en Dieu des résolutions de problèmes.

La machine, conditionnée par la quête de Wiener parviendra-elle à nous sortir du chaos de la guerre et du climat ?

Ma réponse : La cybernétique a pour fondement psychologique l’obsession pour l’ordre et l’angoisse du chaos – tout en privant l’être de son autonomie psychique pour le dépasser à partir de sa source intérieure. Rien à voir avec les sages, les agriculteurs d’expérience.

Et pourtant jamais nous ne pourrons effacer les structures de l’inconscient face à soi, face à la mort et à son mystère. On peut imaginer l’énergie dépensée, la violence refoulée, pour occulter la nature chaotique de sa psyché plutôt que de la libérer… N’est-ce pas ce que l’on ressent déjà dans notre monde globalisé ?

La solution humaniste

Si l’écoanxiété est aujourd’hui une affaire de génération, c’est que nous avons perdu le contact avec notre humanisme. Les jeunes apprennent trop tôt qu’il est préférable de s’attarder à leur environnement externe. On encourage de moins en moins les gens à s’intérioriser pour prendre de la distance face à un problème et vivre les étapes progressives qui façonnent la maturité et génèrent le calme.

Pourtant nous aurons du temps lorsque les robots nous remplaceront !

Pour la cybernétique, l’humain, en tant que support informationnel, est une quantité négligeable face à la puissance de l’intelligence artificielle. La recherche de l’autonomie et de la liberté de l’individu est un futile passetemps, comparé à la puissance organisée de la machine qui (le) pense. La machine a plus d’efficacité organisationnelle qu’un être inconscient. Déclassé, l’être aura le choix de rêver ou de s’éveiller.

« Qui regarde à l’extérieur rêve. Qui regarde à l’intérieur s’éveille. » Carl Gustav Jung

Les leaders fabriquent le nouveau visage de la société depuis 1946. Nous n’échapperons à cette vision que si nous devenons responsables de nous-mêmes. Autrement, sorti de son contexte psychique, l’individu est forcé de ne considérer que les informations de surface. Dès lors, il ne peut plus gérer son propre chaos intérieur.

Nombre d’entre nous sommes déjà programmés pour gérer la crise climatique à la manière de Wiener : se déconnecter de sa psyché, ne devenir qu’une information. La mettre dans son contexte : le chaos. Puis avoir peur. Puis se redéconnecter, ne devenir qu’une information, la mettre dans son contexte, le chaos…

C’est pourtant en saisissant nos profondeurs que nous pouvons trouver les assises d’un réel pouvoir sur nos craintes, puis sur les événements. Ainsi, chaque individu devrait être responsable de gérer ses crises intérieures pour rester autonome et trouver sa force. C’est bien ce que nous avaient enseigné Jung, Freud, et les humanistes philosophes et scientifiques, de la Grèce antique aux Lumières.

Plutôt que d’annuler nos strates profondes, nous devrions les pénétrer d’avantage !

Se déresponsabiliser de soi est la chose la plus facile à faire. Accepter d’être placé au second rang, après la machine intelligente, relève de la paresse. Mais aussi de l’illusion que la puissance de l’humain doit être soutenue par des machines issues de l’imaginaire de soldats traumatisés.

Les pollueurs usagers et entreprises

Pendant qu’on cherche un responsable sans visage à la crise climatique, nous continuons de faire briller le nom des grands joueurs et pollueurs cybernétiques, la GAFAM.

Penser à se priver un instant des facilités qu’ils nous apportent mènerait le marché global à la faillite financière. Tout n’est pas si simple.

Notre principale force pour transformer le problème : ne plus faire de gestes inconscients…

Le consommateur devra choisir entre devenir un humain-machine-informatif sans intériorité ou conquérir son inconscient pour faire des choix éclairés. De là, les millions d’êtres en maitrise de leurs attributs psychiques et mentaux trouveront le pouvoir de constituer un système plus intelligent pour le vivant.

Pour découvrir les strates profondes de votre inconscient – FORMATION LE CRÉATEUR

Vous en êtes à quelle strate :  Sensible – Hypersensible – Suprasensible ? Faites le test sensimétrique !

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Qu'est-ce que la SENSIBILITÉ ?

LA SENSIBILITÉ

C’est la faculté qu’on a de réagir à son milieu pour s’adapter.

Formation Le Créateur

Qu'est-ce que l'HYPERSENSIBILITÉ ?

L'HYPERSENSIBILITÉ

C’est une intolérance qui t’empêche de réagir à ton milieu pour t’adapter, ce qui t’amène vers une dimension plus subtile.
Formation Le Créateur

Qu'est-ce que la SUPRA SENSIBILITÉ ?

LA SUPRA SENSIBILITÉ

C’est ta capacité à faire bouger les choses selon ta propre conscience, après avoir fait le ménage entre ta personnalité et ton être essentiel.

Formation Le Créateur