Il semble que l’heure a sonné de retrouver une cohésion sociale.

Oui, nous nous perdons facilement avec les réseaux sociaux ;
Oui, nous croyons avoir une force individuelle parce que nous avons un pouvoir d’achat ;
Oui, nous sommes devenus dépendants des marchés ;
Oui, le contrôle mondial est commencé;
Oui, nous avons perdu nos libertés.

Toutes les crises ont permis aux élites de tirer vers elles nos énergies de travail. Depuis des années, nous avons vu le monde économique réduire le pouvoir financier de nos PME.

Mais nous n’avons pas vu venir l’hégémonie des géants tel Amazon, prendre le marché global. Amazon est équipée pour vendre TOUT objet sur sa plateforme, par la poste.

Les géants ont beaucoup de moyens pour avaler la concurrence et en terminer avec les petits : recherche sur l’intelligence artificielle pour créer des transports automatiques (dans les entrepôts et des drones vers le consommateur), recherche sur les comportements des consommateurs via les algorithmes qui réussissent à nous faciliter la vie, en nous proposant tout ce que nous voulons.

Stratégie Amazon : traiter le consommateur aux petits oignons.

Qui paye pour ça ? C’est le travailleur. Vous. Vous êtes à la fois le travailleur qui sue, qui vient peut-être de perdre son emploi. Et le consommateur émerveillé d’avoir au bout d’un clic de souris les objets qui facilitent son quotidien. Le lendemain reçu à la maison. Wow ! On se sent comme des rois et des reines ! Tout en s’épuisant soi-même !

Amazon est prête. Wallmart suit de près. Et tous les PDG de la GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) travaillent fort pour nous rendre dépendants de leurs entreprises.

Deux questions :
1. Qui sera l’heureux élu par Amazon pour voir ses produits sur sa plateforme ? Même chose pour Netflix et autres géants. Les objets culturels et de tout acabit sont entre les mains de ces machines.
2. Sans les PME et les petits fabricants, comment ferons-nous fructifier l’économie locale ? Ce palier d’entreprises créatrices de la classe moyenne est en train de craquer.

Notre dépendance

La crise du COVID19 amènera les élites à constituer une nouvelle économie où nous serons tous dépendants, sur tous les plans de notre vie: alimentaire, médical, travail, et surtout politique.

La rapidité avec laquelle le mot d’ordre fut transmis par l’OMS (organisation mondiale de la Santé) aux pays du monde entier concernant cette crise, nous permet de croire qu’elle était attendue et que les élites savaient comment la gérer. La vitesse de décisions, même si certains ont tardé à l’appliquer, la participation mondiale à un vaccin, tout est mis en oeuvre de manière coordonnée. Gérer la planète de manière si ordonnée est à la fois remarquable et effrayant. Non pas en terme médical, mais sur le plan politique. Un pays souverain n’est rien sans son armée, dit-on. L’OMS  a donné le mot d’ordre. Chaque pays souverain a exercé son pouvoir policier et militaire en fonction de la résistance.

En parallèle, le capitalisme empathique dit vouloir notre bien. À ce sujet, Bill Gates de Microsoft et sa fondation Melinda Gates oeuvrent à prévenir les pandémies depuis des années.

LE FAÇONNAGE DU MARCHÉ DES VACCINS

La Fondation Gates contribue aux efforts de l’Alliance visant à façonner le marché des vaccins par un rôle à la fois technique et financier. Elle contribue à recueillir des données servant à guider nos prises de décision et apporte des fonds.

La Fondation investit dans des activités allant de la découverte à la fourniture de vaccins en passant par leur mise au point, tout en encourageant l’innovation de produits et de nouveaux entrants à se lancer sur le marché.

« Façonner le marché des vaccins par un rôle à la fois technique et financier »… Est-ce qu’on peut reprocher à une fondation d’être en conflit d’intérêt ?

Certes, nous ne pouvons dénigrer la réalité d’une propagation virale. Mais à partir du moment où les pouvoirs capitalistes peuvent confirmer, à travers nos pouvoirs politiques souverains, l’impact qu’ils créent sur la psyché collective des consommateurs/travailleurs prisonniers d’un krach économique, nous sommes en droit de penser qu’ils ont mis la main, en Occident, sur nos libertés en tant que citoyens.

La prochaine vague virale saura nous enfoncer d’avantage dans une dictature.

Une dictature commerciale

Pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Comment avons-nous pu laisser entre les mains de prédateurs, le pouvoir sur notre vie, sur notre liberté, sur notre survie alimentaire et bref sur notre souveraineté individuelle et collective ?

Si nous trouvons normal de voir le peuple chinois se soumettre à un homme puissant qui gouvernera à vie son pays, nous assistons en Occident au démantèlement de nos libertés, instituées avec l’humanisme.

À qui la faute ? Au consommateur, celui qui se croit roi. C’est lui qui nous conduit à une dictature à l’occidentale.

Je vous en raconte l’histoire dans mon dernier livre : « Humains ou I.A. – Qui aura la première place ? ». Vous comprendrez pourquoi vous serez obligé de dire « oui » à la dépendance, à l’hypersurveillance, en tant que consommateur ; comment le travailleur sera l’otage du capitalisme dit « empathique », mais aussi comment sortir de ce système, que d’aucuns appellent maintenant la Matrice.

Non, ce n’est pas un complot qui nous enlise. C’est simplement notre mollesse humaine. La crainte, l’insécurité, la paresse, la résistance au changement, le manque de conscience font que nous préférons être dirigés par d’autres, peu importe leur niveau d’éthique. L’appât du gain, le goût de puissance, de contrôle des «Loups de Wall Street» fait le reste.

La paralysie commerciale causée par la pandémie engendrera une catastrophe économique. À qui profitera ce fléau ? Aux géants.

Par exemple, mon dernier livre était supposé sortir en librairie le mois prochain. Le distributeur nous avise que toute nouvelle office est annulée. Mon livre, comme des milliers de titres attendus sur le marché, ne sera pas en librairie.

Je profite donc de ce moment pour vous offrir deux chapitres de mon livre : https://laguaya.ca/deux-chapitres-gratuits-de-humains-ou-i-a-qui-aura-la-premiere-place/

J’ai la « chance » d’être éditrice et de pouvoir le vendre en ligne 😉 Ce qui fait que vous pouvez décider de m’encourager directement en commandant mon livre par la poste, sans passer par le sas des médias, de plus en plus orientés vers les objectifs des élites, et contributeurs de la fin des cultures locales.

Je vous pose ces questions : Comment les librairies s’en sortiront-elles lorsque seulement Amazon peut faire des livraisons présentement ? Et pourquoi est-ce ainsi ? N’est-ce pas une circonstance étrangement favorable qu’un géant, du jour au lendemain, ait la possibilité d’avaler tous ses concurrents ? Amazon est totalement prête à assumer d’être le vendeur mondial #1 de tous les objets. Et cette crise est parfaite pour y parvenir. Stratégique, elle maximisera le potentiel économique de sa puissance.

La dictature commerciale est celle qui nous amène à n’acheter que des géants.

Et cette pandémie les sert. Nous avons le choix de ne pas acheter sur Amazon par carte de crédit. Le seul pouvoir qu’il nous reste est celui du consommateur avisé. Contrairement au consommateur endormi, celui-ci peut contribuer pleinement à l’économie locale.

Ainsi nous sortirons du capitalisme empathique générateur d’une dictature commerciale.

Isoler pour mieux régner

Les pandémies nous isolent. Elles engendrent la peur d’être malade, l’angoisse des lendemains, d’être soumis au système, de mourir. La survie physique et alimentaire sont deux grands enjeux qui fragilisent notre humanité. Et, comme vous le savez, il se trouve toujours quelqu’un pour en profiter. Nous savons aujourd’hui à qui profite notre isolement.

Isoler les travailleurs, les éloigner de leurs sources de revenus, cela nous prépare-t-il à l’avènement d’un revenu garantie mais contrôlé par les élites, au gré de leurs humeurs financières ? Isoler les citoyens brise le tissus social, l’expérience organique de la survie qui nous garantie une qualité de vie dans un environnement bienveillant.

Mais tout cela reste évolutif.

Isoler les consommateurs génère de la panique chez les plus insécures. Mais cela assure aux géants, les seuls qui peuvent offrir des services durant une pandémie, de consolider notre dépendance face à eux. De nous imposer un marchandage virtuel, sans argent. Ça fait des décennies que le capitalisme vise cet objectif. Et voilà qu’il y parvient d’une manière qui parait brutale à ceux qui se fermaient les yeux.

On ne peut pas affirmer que c’est orchestré parce que les événements se dessinent de manière à faire paraitre tous ces leaders comme des sauveurs bienveillants. Mais ils sont en train de détruire l’économie et d’implanter, par l’I.A., une société d’hypersurveillance, tel que Jacques Attali (dont vous verrez les citations dans les deux chapitres en ligne de mon livre), nous le suggère depuis des décennies.

La rareté imposée, une illusion

Attali suggère également que dans un monde de rareté, nous devons faire des choix. Or il ne dit rien sur le fait que la rareté est créée de toute pièce par les élites ; les paradis fiscaux, la Réserve fédérale sont autant de leviers économiques volés pour diriger les recherches vers des secteurs qui servent les intérêts des élites (technologie, nanotechnologie, vaccins, drones, etc), dont l’I.A. est le centre et l’hypersurveillance le point d’orgue.

Il n’y aurait pas cette rareté, si la richesse avait été distribuée équitablement. Aujourd’hui, nos gouvernements répondent présents à tous les lobbys qui contribuent à la ponction de nos richesses.

De ce fait, chacun de nous a la responsabilité de ne pas céder à la psychose collective. Nous avons le devoir de conserver notre cohésion sociale. Et de nous relier localement afin de retrouver notre vitalité sociétale.

Ce que nous pouvons faire pour conserver un peu d’autonomie est de coopérer de manière à la fois informelle et structurée. Je vous en reparle plus tard !

Au plaisir d’évoluer ensemble !


Sylvie
www.laguaya.ca
Pour un rendez-vous : [email protected]

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Qu'est-ce que la SENSIBILITÉ ?

LA SENSIBILITÉ

C’est la faculté qu’on a de réagir à son milieu pour s’adapter.

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Qu'est-ce que l'HYPERSENSIBILITÉ ?

L'HYPERSENSIBILITÉ

C’est une intolérance qui t’empêche de réagir à ton milieu pour t’adapter, ce qui t’amène vers une dimension plus subtile.
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Qu'est-ce que la SUPRA SENSIBILITÉ ?

LA SUPRA SENSIBILITÉ

C’est ta capacité à faire bouger les choses selon ta propre conscience, après avoir fait le ménage entre ta personnalité et ton être essentiel.

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