Depuis quelques temps, je vous parle de 3 modèles d’humains. Vous pouvez visionner ces vidéos. Ces 3 modèles d’humains seront présents durant les prochaines décennies :

  • Humain naturel
  • Transhumain
  • Suprahumain

Chaque modèle est caractérisé par ce à quoi vous branchez vos neurones. Pour le dire autrement, l’être humain est une composante de l’univers, constitué d’atomes, d’un champ électromagnétique et d’une conscience. Cette constitution fait de lui une antenne. D’où la question de la connexion.

Ce à quoi vous connectez le plus vos neurones détermine l’identité humaine que vous valorisez. Nous avons fait un exercice le 8 septembre 2020 à midi, dont vous pouvez voir ici l’extrait, et qui a révélé aux participants la valeur qu’ils se donnent comme humain.

La désacralisation du corps

Depuis plusieurs décades, nous avons délaissé les valeurs sacrées associées à l’humain naturel. La société de droit ayant donné à la raison de l’homme une valeur divine, nous nous sommes déconnectés progressivement de l’idée de préserver l’intégrité du corps. L’avènement de la cybernétique et de la génétique ont achevé de nous convaincre que le corps peut devenir un produit. Big Tech et Big Pharma travaillent main dans la main pour promouvoir l’homme-robot ou l’homme-pilule, tout en brevetant le vivant. Si nous ne sommes pas vigilants, bientôt nous leur appartiendrons.

De plus en plus, nos professions sont tournées vers cette vision truquée de notre nature organique, promue par des technocrates qui n’ont que très peu de connaissances de leurs dimensions internes. Si vous n’avez jamais considéré votre corps comme une antenne, vous ne trouverez que peu de solutions durables à tout manque d’énergie qui démotive  au travail.

Qu’est-ce que ça veut dire «être une antenne» ? C’est la capacité de considérer ses énergies internes comme plus importantes que tout, sachant que nous sommes composés d’électricité et de magnétisme. Ces composantes sont responsable de maintenir votre équilibre, votre joie de vivre. Plus d’énergie, plus de confiance en la vie, en soi, vous êtes dépressif. Lorsque l’énergie devient incohérente, votre système nerveux faiblit. Vous avez moins de concentration, moins d’élan, et surtout moins de force mentale.

Et l’énergie mentale est le pilier de notre conscience, de notre force de centricité, d’affirmation.

Aujourd’hui, nos technologies se déploient si vite, que notre conscience humaine ne parvient pas à suivre. Elle peut donc moins remettre les choses en question. Rester critique lui est devenu difficile tellement elle est dépassée. Nous ne réalisons pas à quel point notre méconnaissance de soi nous pousse dans une direction nébuleuse.

En 2012, l’OMS se mit en conflit d’intérêt dès lors qu’elle a décidé de satisfaire l’industrie et d’augmenter les seuils d’acceptabilité du corps à recevoir des ondes électromagnétiques des technologies sans-fil, au-delà de ses capacités.

Les antennes sans-fil sont en conflit avec notre corps, en tant que récepteur de nos sens, de nos perceptions extrasensibles, des signaux plus ou moins subtils (Lire cette excellente synthèse sur la technologie 5G)

La désacralisation du corps est bien utile pour le développement des affaires du Big Tech et du Big Pharma. Par ignorance de soi et des lois universelles qui régissent notre être essentiel, le modèle d’humain naturel est aujourd’hui persécuté par des ondes qui altèrent sa génétique, pour ne pas dire le mettent en danger. L’homme sacré est devenu un code-barre.

L’homme-machine

C’est assez surréaliste de voir à quel point les humains sont fascinés par les robots qu’ils fabriquent, et qu’ils cherchent si peu à se connaitre. Combien ils souhaitent en savoir plus sur la conscience de l’intelligence artificielle et si peu sur leurs dimensions encore non pénétrées. Comme si notre conscience ne valait rien comparée à la conscience de l’IA.

La course contre la montre se poursuit pour savoir quel pays sera le plus performant dans le développement des meilleurs robots. Une part croissante des budgets des contribuables est investie dans la recherche et développement de l’IA. Et pendant ce temps, nos écoles manquent de ressources humaines et ont peu investi dans le maintien et la salubrité des immeubles. Mais on n’hésite pas à installer des antennes sans-fil sur le toit des écoles et des CHSLD, sans se préoccuper de l’impact sur la sécurité et la santé de nos petits, de nos jeunes et de nos ainés. De même sur les toits de nos hôpitaux…

Le rapport Yale, qui a suivi les recommandations truquées de l’OMS, a établi à la hausse les seuils d’acceptabilité du corps concernant les ondes électromagnétiques. Le texte de Pascal Gélinas, réalisateur à Découverte Radio-Canada de 1984 à 2009, nous révèle la face cachée  de ce rapport : « Prétextant l’innovation, l’épanouissement des Canadiens et la compétitivité internationale, le comité Yale recommande au gouvernement de donner au CRTC les pleins pouvoirs pour décréter unilatéralement l’installation accélérée du système de téléphonie 5G à travers le pays […] Nulle part le rapport Yale ne mentionne que ce déploiement est en train de se faire sans qu’aucune étude n’ait démontré que la technologie 5G est sans danger pour les humains et l’environnement. Son déploiement est donc un jeu de roulette russe où nous servons de cobayes à notre insu, en violation de nos droits les plus fondamentaux tels que définis par le code de Nuremberg. »

L’arrogance de l’industrie s’immisçant dans les moindres recoins de notre vie intime démontre à quel point nos leaders sont déconnectés de leur conscience. Le manque de conscience de soi entraine le manque de conscience éthique.

L’acceptation de cette corruption institutionnalisée, par ignorance ou impuissance, devrait nous pousser à une plus grande introspection individuelle et collective afin de revoir notre vision du monde. Rien ne nous oblige à subir celle de visionnaires déconnectés de leur humanité. Notre conscience est le siège de notre puissante capacité à vivre en cohérence – plutôt qu’en opposition – avec la nature humaine et à celle qui nous entoure.

Tout ce préambule exprime à quel point la déconnexion d’avec soi conduira une majorité de personnes vers le transhumanisme. Non par choix, mais par défaut. Suivre la logique capitaliste, c’est donner la priorité aux innovations qui créent de la croissance économique, sans remettre en question les dommages causés.

Bien sûr, personne ne veut perdre ses acquis, sa qualité de vie. Et pourtant, notre aveuglement volontaire ou notre inconscience face aux transformations non humaines, que nous allons choisir en tant que simples consommateurs ou travailleurs, nous conduira vers des performances mitigées et, sans doute, vers une régression de notre humanité.

Elon Musk veut notre bien : étant donnée que les robots risquent de nous surpasser, il vaudra mieux se faire implanter une puce dans le cerveau afin de rester compétitif avec les algorithmes.  Ainsi sa compagnie Neurolink a trouvé la solution pour mettre fin à votre angoisse d’être en compétition avec l’IA. L’empathie des leaders du numérique est sans borne. Mais leur profonde méconnaissance du potentiel humain les empêche de voir que nous pouvons aussi développer une suprahumanité, sans le concours de machines, si tant est que nous acceptons de comprendre nos propres fréquences intérieures, notre propre subconscient encore non pénétré.


À ce sujet, j’ai écrit : Au bout des rêves, d’autres réalités


Ainsi la manière dont sont pensées les avancées technologiques, aussi facilitantes et enrichissantes soient-elles, ne va pas toujours dans le sens du développement humain et de sa santé.

Les antennes du sans-fil créent une incohérence dans le corps humain qui cause un déséquilibre dans notre système nerveux. Tout dysfonctionnement du système nerveux (dépression, burn out, stress, trouble du sommeil, maladie dégénérative, etc.) engendre une déconnexion d’énergie mentale. La conséquence est une dévitalisation générale qui peut conduire, non seulement à des troubles mentaux, à une perte de sens de votre être, mais aussi physiques.

Chaque fois que vous entendez votre enfant se plaindre d’une fatigue, assurez-vous qu’il n’est pas collé à une antenne sans-fil, qu’il ne dort pas avec sa tablette. Les ondes électromagnétiques des technologies sans-fil créent de l’incohérence dans notre système électrique corporel. De nombreuses études le démontrent. Les enfants et les femmes enceintes sont les plus vulnérables face aux perturbations des ondes électromagnétiques.

Être connecté.e à soi se fait à tous les niveaux en même temps. Disons que nos fils électriques internes peuvent se détacher dans différents circuits de notre constitution humaine.

L’être essentiel, le modèle de demain

En réalité, notre être essentiel ne peut se dissocier ni du corps ni de l’âme ni de l’esprit. Lors de la fondation de l’OBNL Connexion-U, nous avons rédigé une Déclaration sur l’être essentiel. Je vous invite à la lire et à la signer au passage. Nous avons fondé cet organisme pour la protection de l’être humain et de la démocratie, dans le contexte de l’économie numérique.

L’être essentiel est doté d’un esprit dont le courant passe dans le corps sous toutes sortes de forme, à travers toutes sortes de dynamiques. Ce qui caractérise l’être essentiel est la manière dont il décode ces courants. Mais aussi à quel point il s’identifie à son énergie électromagnétique.

Beaucoup de personnes sont présentement pénalisés par les technologies sans-fil, à leur insu ou non. Les antennes fabriquées par l’homme interfèrent avec notre champ électromagnétique. Lorsque notre antenne interne (nous captons ces champs) est perturbée par une incohérence magnétique extérieure, nous souffrons de différents maux : insomnie, migraines, vision trouble, fatigue. Et l’exposition constante à l’électrosmog (de plus en plus d’antennes polluent l’atmosphère 24h/24) accroit les risques de cancer, d’autisme chez l’enfant, de troubles de reproduction particulièrement chez l’homme. La communauté  mondiale des chercheurs indépendants est unanime : la technologie sans-fil touche le système immunitaire et peut abimer l’ADN de manière irréversible. De nombreux scientifiques ont alerté l’ONU en 2015.

Chacun de nous est pourvu d’une essence vitale. C’est notre premier carburant. Sans cette essence, nous ne pouvons plus avancer, avoir de projets, nous perdons le sens de nos actions. Ce courant d’énergie est distribué dans le corps. Il motive nos actions. Lorsque nous sommes intègres à cette essence, nos créations sont en cohérence avec notre nature humaine et avec l’environnement.

Pourquoi sommes-nous corrompus ?

Lorsque notre corps ne brûle pas l’énergie essentielle qu’il reçoit, c’est-à-dire qu’elle n’est pas dépensée, alors la pensée qui a créé votre action (je dois téléphoner à un nouveau prospect aujourd’hui ou je dois parler à ma femme de ma déception), est refoulée dans votre être quelque part. Vous commencez à rompre l’équilibre entre l’esprit, l’âme et le corps. Vous entrez dans une agitation ou un spin de pensées négatives. Et vous mettez alors beaucoup de volonté à fuir cette pensée, ce qui vous fait compulser sur autre chose. Vous refoulez dans votre subconscient plutôt que de l’éclairer, de le creuser pour apprendre plus sur vos mécanismes intérieurs.

Quand nous coupons le flot de la pensée, nous nous déconnectons de nous-même en tant que créateur de notre vie. On ne fuit pas seulement la pensée, mais la source d’où elle vient : c’est votre lumière interne. On l’appelle esprit.

Votre esprit, ce qu’il veut, c’est de vous recentrer dans un axe d’intelligence globale. Vous, vous le jugez et le condamnez pour inaptitude, car il ne va pas dans le sens du reste du monde, idéologiquement, socialement et financièrement. Vous êtes d’accord pour rester coupé de votre être essentiel simplement pour convenir aux structures existantes. Et surtout ne toucher à rien ! Ne pas ouvrir ces petits tiroirs du subconscient ! Pour survivre, on a appris qu’il vaut mieux rester branché aux autres.

De là, un nombre incroyable de pensées négatives intoxique notre être, en plus de l’électrosmog et autres polluants de l’environnement physique. Multipliez par des milliards de personnes… La négativité provient de la mauvaise gestion de la pensée créative. Elle tue votre énergie et réduit votre état d’esprit, votre champ de conscience à un champ de mines. Cela vous donne un sentiment d’étouffement, de confinement dont vous ne pouvez identifier la source. Quand votre conscience ne peut plus être expansive, tout tourne autour de votre petit nombril. Le signe en est que vous êtes très insécure… Ce repli ne produit pas de cohérence avec soi ni avec l’environnement.


Je traite de pensée toxique dans ce livre


Bien sûr, au cours des âges, notre priorité fut d’assurer notre survie. Et aujourd’hui, alors que nous parlons de moins en moins de pauvreté, nous sommes encore insécures face à notre richesse matérielle collective. Sommes-nous conditionnés, pour ne pas dire condamnés à ne donner d’importance qu’à notre survivance, à nous développer que pour répondre à un système de protection ? Pourtant, plus un être s’ouvre à son intérieur, plus il s’épanouit. Plus il sort de la boite, du cocon protecteur, du confinement, plus il s’élève, plus il est libre de ses mouvements.

Avec la richesse du monde, nous ne devrions plus oublier qui nous sommes, nous avons le devoir de considérer l’équilibre de notre être intérieur. Nous connecter à notre source profonde devrait devenir une priorité. Si nous ne réussissons pas à nous connecter à notre être essentiel, nous risquons d’être branchés surtout aux technologies. Pensant faciliter nos existences, nous nous retrouverons appauvris en réduisant notre pensée créative à celle des algorithmes et notre production à la performance des machines.

Nous brancher à des antennes technologiques à temps plein drainera notre énergie vitale et mentale. Parlez-en à des programmeurs en informatique, ils vous confirmeront les dangers de compulser avec des codes et des machines.

Voir le  Programme complet de développement